5 commentaires sur “la couverture du Livre « Journal d’un confiné » Ambroise Perrin”
SUPER, la couverture de ton livre , mon Cher Ambroise…! L‘exploitation du « Cri bâillonné de Munch », est une trouvaille ! Il aura bientôt sa place dans ma bibliothèque… Bien amicalement à vous 2, Bernard & Nicole
merci, effectivement c’est un clin d’œil qui rend bien cette atmosphère d’incompréhension et de panique au début de notre confinement ! Merci de ces compliments, et quand je pense qu’aujourd’hui nous devions faire une conférence ensemble… ce sera pour bientôt !
Chouette !! expression d’un autre temps, du temps d’avant ! Parfois nos tripes semblaient exprimer des cris réprimés ! On aura le plaisir de relire bientôt ces petites histoires qui nous ressemblent…. ou pas !
Sans nostalgie…..quoique ! J’aime bien la conclusion du papier de Marc Lambron dans le JDD du 3 mai – merci Ambroise – « La vie des bêtes à cornes reprendra, certes, mais d’aucuns auront eu accès à cette profondeur interloquée qui renvoie au mystère d’avoir vécu, à la grâce d’avoir été là. Louée soit la vie . Gracias a la vida.
AFP-Ambroise-Fiction-Presse 
SUPER, la couverture de ton livre , mon Cher Ambroise…! L‘exploitation du « Cri bâillonné de Munch », est une trouvaille ! Il aura bientôt sa place dans ma bibliothèque… Bien amicalement à vous 2, Bernard & Nicole
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merci, effectivement c’est un clin d’œil qui rend bien cette atmosphère d’incompréhension et de panique au début de notre confinement ! Merci de ces compliments, et quand je pense qu’aujourd’hui nous devions faire une conférence ensemble… ce sera pour bientôt !
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Chouette !! expression d’un autre temps, du temps d’avant ! Parfois nos tripes semblaient exprimer des cris réprimés ! On aura le plaisir de relire bientôt ces petites histoires qui nous ressemblent…. ou pas !
Sans nostalgie…..quoique ! J’aime bien la conclusion du papier de Marc Lambron dans le JDD du 3 mai – merci Ambroise – « La vie des bêtes à cornes reprendra, certes, mais d’aucuns auront eu accès à cette profondeur interloquée qui renvoie au mystère d’avoir vécu, à la grâce d’avoir été là. Louée soit la vie . Gracias a la vida.
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c’est la faute à la fatalité faisait dire Flaubert à la fin de Madame Bovary…
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J’attends avec impatience le début juin et merci, à propos, pour la mère retrouvée…
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