La guerre et la banderole, retour sur images d’un confiné (5)

la guerre, ce n’était pas les générations d’avant ?
dimanche dernier, 1er tour des élections municipales, ici à Wissembourg, tous ensemble pour écouter la proclamation des résultats
nous sommes le peuple !
les barrières… bises allégoriques, rien d’euphorique, rien d’excentrique
miroir, miroir en bois d’ébène, dis-moi que je suis la plus belle ! – en cherchant à la ronde, dans tout le vaste monde, on ne trouve pas plus belle que toi !

LE LIVRE   

Le Chat du 28 prend le Soleil, Journal d’un Confiné    17 mars – 11 mai 2020   

rue Geiler à Strasbourg   –     Ambroise Perrin  –    Plus de 500 apostilles et notules en 59 épisodes, 48 dessins de Liza Reichenbach, Cahier au jour le jour de 64 photos légendées,  

192 pages, 20 x 25 cm, 15 euros,  publication début juin

Les mots ‘la guerre’ résonnent dans la mémoire des Strasbourgeois comme le bruit de l’oeuf dur cassé sur un comptoir d’étain, la Première avec l’Empereur, la Deuxième chez les nazis. Le 17 janvier 1995 Mitterrand fustigea le nationalisme au Parlement européen: « c’est la guerre ». Macron a persévéré, six fois il a répété, « nous sommes en guerre ». Le dimanche d’avant, pour le 1er tour des municipales, « nous étions en chimère »

contact: editionsbourgblanc@gmail.com

2 commentaires sur “La guerre et la banderole, retour sur images d’un confiné (5)

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