Cliquez sur ‘suivre’ -sans pub ni cookies- pour lire chaque nouvel épisode
Ambroise Perrin, samedi 9 mai, suite…
- dernier week-end avant… avant quoi ?
- encore un nouveau nom, le déconfinement se nomme aussi « la reprise »
- promenade, bientôt le Parc de l’Orangerie, ou en face le Parlement européen devenu centre de tests, 21 boxes pour 2000 prélèvements quotidiens
- l’étau du confinement se desserre, les taux des impôts, des banques, des artisans vont augmenter ?
- DNA aujourd’hui, 5 publicités d’une page complète, supermarchés, banques, assurances, lobbyistes, tous unis et solidaires (?) pour masquer le retour des habitudes de manipulation des consommateurs
- le pompon, une galerie de visages, mais ce ne sont ni des brancardiers ni des infirmières, c’est pour le pinard chic alsacien élevé à une forme de combat patriotique pour le déconfinement, confusion entretenue par un pitoyable lobby
- les joies du confinement, cet ami artisan a rendu service à tous ses voisins d’immeuble -en respectant les distances-, 7 sacs de 25 kg de colle pour leur carrelage de cuisines et de salles de bain
- un collègue, le télétravail est formidable, on réinvente les contacts, sans perte de temps, je peux tout faire comme je veux
- un autre collègue, le télétravail est une catastrophe, on perd tous ses contacts, où sont les couloirs où tout se décide, il faut tout vérifier
- l’heure du bilan, Libération publie des coronavisages, comme cette directrice confinée volontaire dans son Ehpad avec 30 employés, 47 jours sans sortir, aucun décès ni cas positifs parmi les 108 résidents âgés
- bien écouter les consignes du gouvernement, et ne pas céder au chant des sirènes hydroxychloroquiniques. Ulysse s’est fait attacher au mat de son bateau et ses marins avaient des bouchons de cire dans les oreilles pour ne pas se fracasser sur les rochers
à suivre…