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Ambroise Perrin, vendredi 17 avril, suite…
- on a la chance d’avoir du beau temps depuis le confinement, la lumière dans les appartements
- ranger la cave, trouver plein de choses inutiles d’avant et on est content de les revoir
- l’appli Stopcovid va nous entraîner dans une société de servitude volontaire dépassant le Big Brother d’Orwell, au lieu d’en échapper il faudra nous résigner (pour notre bien), on fait un débat
- 150 euros offerts aux chômeurs les plus précaires, il y a quelques jours c’étaient 200 milliards débloqués pour soutenir l’économie
- le ténor du balcon de la rue Sleidan devient une vedette, concert après les applaudissements, on sort l’écouter, gare aux rassemblements !
- à chaque journée sa « cible », les premières lignes (en cordées) font le buzz, les médecins, les virologues, les infirmières, les pompiers, le SAMU, le président, un ministre, les auxiliaires de soin, les stagiaires volontaires, les brancardiers, les femmes de ménage, les éboueurs, les caissières, les boulangers, les porteurs de journaux, les couseuses de masques, les cueilleurs d’asperges, les applaudisseurs, les survivants, les guéris, difficile d’être journaliste. Aujourd’hui c’était visite à la morgue.
- Christophe, tous les mots bleus, les mots qu’on dit avec les yeux, tous ceux qui rendent les gens heureux
- toutes les portes et fenêtres hermétiquement fermées de l’intérieur et pourtant l’assassin a réussi à sortir ! Paul Halter a écrit une quarantaine (!) de polars sur les plus ingénieux faux confinements absolus. La Quatrième porte, la Chambre du fou, la malédiction de Barberousse, l’écrivain est de Haguenau.
à suivre…
Paul Halter a obtenu le prix du roman policier du Festival de Cognac en 1987 et j’avais eu le plaisir de l’interviewer pour FR3 Alsace
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